Pour la première fois en huit ans, le Conseil national mixte (CNM) revoit sa Directive sur la réinstallation, prévoyant lancer les discussions cet été. La Directive établit les droits des fonctionnaires fédéraux qui doivent déménager pour le travail, et les mesures de soutien qui leur sont offertes.
L’AFPC appelle aujourd’hui ses membres à proposer des améliorations à la Directive. Si vous avez déjà fait l’objet d’une réinstallation et que vous avez des préoccupations ou des suggestions, voilà votre chance de façonner la prochaine version de la Directive.
Qui peut participer?
Vous pouvez participer si vous relevez du Conseil du Trésor, de l’Agence canadienne d’inspection des aliments, du Centre de la sécurité des télécommunications, du Bureau du vérificateur général du Canada ou du Conseil national de recherches du Canada.
Pour ce faire, veuillez communiquer avec votre Élément, car toute proposition devra être approuvée et appuyée par l’exécutif. La date limite est le vendredi 13 juin.
Certains ministères et organismes recourent plus souvent à la Directive sur la réinstallation, notamment l’Agence des services frontaliers du Canada, Service correctionnel Canada, et Environnement et Changement climatique Canada. Si vous travaillez pour l’un de ces employeurs, votre participation est d’autant plus importante.
Le CNM permet aux employeurs et aux syndicats de collaborer à l’élaboration de politiques et de directives internes, comme celle-ci. L’AFPC est l’un de 19 syndicats fédéraux à y siéger.
Prochaines étapes
L’équipe de négociation de l’AFPC examinera les propositions reçues avec un sous-comité du Conseil national d’administration. On les mettra ensuite en commun avec celles des autres syndicats siégeant au CNM.
Le cahier des propositions sera envoyé au secrétariat du CNM, puis les pourparlers commenceront. Les dispositions de la directive sont négociées séparément des conventions collectives.
Parallèlement, plusieurs autres directives du CNM font actuellement l’objet de discussions, notamment la Directive sur la prime au bilinguisme et la Directive sur les voyages.